Les conduites à risques sont particulièrement intenses l’adolescence. Le jeune a recours à des rites individuels et ordaliques (affrontement symboliques à la mort)
Comportements accélérés par la crise des valeurs et la crise économique actuelles qui retardent l’accès à l’autonomie.
Si surmonter ces comportements peut redonner au jeune un sens à son existence, aussi il peut parfois déboucher sur une véritable conduite addictive ou à des comportements destructeurs et suicidaires

I) Caractéristiques

– Adolescence = période de transformations corporelles et psychologiques qui se produisent entre l’enfance et l’âge adulte.
– On distingue l’adolescence 13-18 ans, la préadolescence 11-13 ans, le jeune adulte 18-25 ans
– La puberté marque souvent le début de cette période.
– Age de ce bouleversement lié à l’appartenance social, au climat, au milieu social, au régime alimentaire. Dans les pays développés la puberté apparaît de + en + tôt : 11-13 ans
– Dans certaines civilisations, l’enfant est vite associé aux activités des adultes
– Adolescence : classe d’âge récente apparue au cours du 19ème siècle
– Fin de la seconde guerre mondiale : les caractéristiques de l’adolescence commence à devenir problématiques et à intéresser l’opinion publique.

II) Les indicateurs

Situation des jeunes en 2011 :
– Depuis 20 ans, l’obtention du baccalauréat ne cesse d’augmenter
– L’apprentissage a relancé son développement ces dernières années et participe à l’élévation générale des niveaux de formation (9,7% des jeunes hommes de 15 à 19 ans sont inscrits dans un centre de formation d’apprentis en 2009).
– En 2010, 83% de la population âgée de 20 à 24 ans et 71% de celle âgée de 25 à 64 ans détiennent un diplôme de second cycle.

III) Les facteurs explicatifs

Une classe d’âge artificielle
Classe d’âge et réalité sociale, cette période de l’adolescence devient de + en + longue par l’accès à l’emploi, au mariage et à la maternité retardé dans notre société, et ce pour plusieurs raisons :
– allongement de l’espérance de vie
– allongement de la scolarité. Instauration de l’école laïque et publique en 1881 a aussi « donné naissance à l’adolescence »
– durée des études ne va pas raccourcir donc jeunes de + en + longtemps adolescents c. à d. dans une situation où ils ne subviennent pas à leur besoin.
– progrès techniques (emploi + exigeants)
– progression des emplois précaires
– nouveaux modes de vie : rester jeune le + longtemps possible et non plus être adulte le + tôt possible (comme dans les années 60) : mais est-ce vraiment par choix ou par absence de choix ?

La recherche identitaire
• Les limites et les repères fixés par les parents sont essentiels: permettent à l’adolescent d’être reconnu et de se sentir en sécurité (il a besoin de ça pour se construire).
• Si pas de limites l’adolescent ressent un mal être : et va alors chercher à se libérer de sa souffrance psychique en éprouvant de sensations fortes (seuls ou en groupe) ou par des jeux symboliques liés à la mort. Situations qui lui permettent de se sentir exister, sans intention de mettre en danger sa santé.
Jouer avec ses limites = chercher à se situer dans la société et à s’assurer de sa propre valeur.

IV) Les réponses apportées

Actions envers les adolescents en souffrance pensées par la société selon 3 axes :
Inciter le jeune à s’investir dans la sphère sociale :
• Avec la loi sur le service national :
– Recensement obligatoire des garçons dès 16 ans au près de leur mairie
– 1 Journée d’appel de préparation à la défense obligatoire entre 18 et 20 ans: présentation des objectifs de la Défense Française, des formes de volontariat, évaluation de l’apprentissage de la langue française : certificat individuel de participation délivré après cette journée
– création en 2010 d’un volontariat (= service civique) de 9 à 24 mois possible, avec couverture sociale, droits à la retraite, accompagnement par un tuteur, VAE (validation des acquis) et indemnisation.
Préparation d’une valorisation de ce servie civique dans les formations supérieures
– Rendez-vous annuel de l’engagement pour les 11-18 : guide de l’engagement consultable dans écoles, universités, mairies, …
– Site internet http://www.enviedagir.fr
– journée annuelle de l’engagement pour tous

  Lutter contre la violence et l’absentéisme à l’école
Diverses mesures instaurées et régulièrement réactivées et médiatisées :
– la garantie à tous d’un socle commun de connaissance
– renforcement la de la lutte contre la violence scolaire (création de 500 postes d’Agent de prévention et de sécurité pour les établissement les + difficiles et (cf L19) )
– replacement assuré des prof absents
– institution de bourses au métier
– promotions des filières professionnelles
– renforcement de l’apprentissage des langues étrangères
– accès plus large à l’informatique et à internet (enseignement avec internet)
– lutte contre l’absentéisme (rapport d’information sur l’absentéisme scolaire dans l’école ou l’établissement, renforcement des liens école/collège/lycée/parents d’élèves est un élément indispensable à cette lutte )
– dispositifs de sécurisation et de surveillance des établissement.

Favoriser et valoriser le travail et la mobilité des jeunes

• Politique en faveur des 16-25 ans qui propose :
– une année universitaire plus longue études financées par l’Etat donc contrôle de l’assiduité
– réformes des lycées
– mesures contre le décrochage scolaire : 100000 élèves de 16 à 18 ans quitte l’école sans diplôme chaque année : recensement des élèves décrocheurs par création des plates formes régionales et propositions d’un parcours d’insertion, d ‘une formation ou d’un emploi
– dispositifs d’insertion pour les jeunes majeurs
– élargissement de l’apprentissage à la fonction publique
– interdiction des stages hors cursus : doivent être une étape dans une formation
– extension du RSA au 18-25 ans aux jeunes ayant travaillé 2 ans dans les 3 dernières années

•Mesures récentes :
– revalorisation du statut d’apprentis (loi de Juillet 2011), avec création d’une carte d’étudiant qui donne les mêmes réduction tarifaires que les étudiants, ouverture de nvx secteurs à l’apprentissage, accès des apprentis au bac professionnel)
– création de 2 sites internet institutionnels dédiés aux jeunes :
http://www.agircontreleharcelementalecole.gouv.fr apporte réponses aux parents, enfants, enseignants concernés par le harcèlement, un numéro de téléphone stop harcèlement : 0808807010.
http://jeunes.gouv.fr donne l’ensembles des actualité, dispositifs et services en ligne sur toute la France à destination des jeunes et concernant toutes les problématiques : emploi, logement, mobilité internationale, santé, sports…

c la DRJSCS : direction régionale de la jeunesse, des sports et de la cohésion sociale crée en 2010, intervient dans 3 grands domaines : politiques sociales (lutte contre exclusion, protection des populations vulnérables, lutte contre les discriminations, inclusion des handicapé….),politiques sportives et les politiques de jeunesse, de vie associative et d’éducation populaire.

IV) Les problématiques posant débats

La crise d’adolescence :
•Véritable mutation, profonds changements sur les plans biologique, psychologique, social donc peur de l’ado qui, en défense, va adopter divers comportements :
– adoptent des valeurs morales et vertueuses élevées
– intellectualisme : ils se réfugient dans l’abstraction, les études, les constructions intellectuelles
– conformité au groupe :il rassure par son uniformité, évite de se sentir seul, permet de se sentir normal
– le passage à l’acte : se précipiter dans l’interdit, dans des situations angoissantes pour faire cesser la peur, les tensions.

• Crise d’identité pour tous, recherche d’un équilibre psychologique = recherche du « JE » :
– modification du comportement : humeur changeante, besoin d’être aimé, intolérance, pas de nuance dans les jugements, besoin de se distinguer d’exister par leur attitude, leurs vêtements…
– la crise d’adolescence peut devenir pathologique si mal-être et fragilité de l’adolescent très profonds avec comportements symptomatiques à problème comme :
la désocialisation
la déscolarisation
les troubles des conduites alimentaires
tentatives de suicide
fugue
prise de drogue ou d’alcool,
Si un de ces symptômes s’installent dans la durée, ne pas hésiter à s’orienter vers une thérapie.
La stabilité familiale apparaît donc comme un facteur de grande importance.
En chiffre : A 16 ans : 32% des garçons ont au moins un de ces comportements à problème, pour 30% des filles

Crainte du chômage : les jeunes 2 fois plus touchés que la moyenne de la population, plus les filles que les garçons (les jeunes entre 15 et 24 ans à la recherche d’un emploi = 8,4% contre 5,4% pour toute la population)

  Les jeunes restent tardivement chez leurs parents : 57,1% des 15-29 ans, 57,8% des 20-24 ans, 21,2% des 25-29 ans (chiffres de 2007 dernier recensement) car poursuite des études et précarité de l’emploi

« Génération transition » :

– En 68 les jeunes condamnaient la société, la religion , la politique, le travail…
– Aujourd’hui les moins de 20 ans se qualifient de « génération galère » mais cherchent à s’intégrer à la société : famille et travail restent des valeurs sûres pour eux.
– Génération de transition entre 2 millénaires : entre une société industrielle et post-industrielle, entre un vision collective de la vie et une vision plus individuelle.
Génération qui dans les prochaines décennies va devoir surmonter l’héritage de problème laissés par les générations passées : destruction de la biodiversité, sida, croissance démographique..

Comportement ordalique = affrontement symbolique à la mort :
intenses à l’adolescence et de + en + fréquents jusqu’à 25 ans
• le Suicide : seconde cause de mortalité chez les jeunes après les accidents, a augmenté de 80% chez les garçons et de 20% chez les filles ces 10 dernières années.
Causes : maltraitances dont inceste, familles éclatées, toxicomanie, exigences scolaires questions identitaires et existentielles…
• Alcool : consommation banalisée chez les jeunes (surtout alcools forts).
Causes : rite de passage à l’âge adulte, influence du milieu familial, problème d’intégration scolaire
• Prise de risques au volant : 1ère cause de mortalité chez les moins de 25 ans.
• Tabagisme : l’usage quotidien du tabac chez les 17-18 ans largement répandu ; toutefois France rare pays européen ayant vu sa conso de tabac chez les jeunes chuter (33% en 200§ contre 44% en 1999)
• Toxicomanie en nette augmentation depuis 10 ans auprès des adolescents, banalisation de l’usage du cannabis : 1 jeune sur 3 entre 15 et 19 ans a déjà fumé au – une fois du cannabis.
Recrudescence de l’usage du LSD a été observée.
• Les polyconsommations : phénomène récent le plus marquant avec en tête alcool-tabac-cannabis
Causes : chez ces jeunes consommateurs les facteurs relationnels et sociaux sont très importants : souvent sortie fréquentes, coucher tard, comportements déviant comme fugue, vols, violences, troubles du sommeil…., ceci indique la complexité du phénomène
• Conduites sexuelles à risque en recrudescence, avec & des IST (infections sexuellement transmissibles) et & de grossesses chez les adolescentes.
Causes : sentiment d’invulnérabilité, tentation de prendre des risques, confiance idéalisée dans le partenaire, effets désinhibiteurs des drogues et de l’alcool, manque d’information, espoir de changer de vie pour certaines jeunes filles en difficultés.
• Modifications volontaires du corps : tatouage, piercing, scarification pour se différencier.

  Illétrisme : 6,5% d’illétrisme constatés par les journée d’appel de préparation à la défense.

  Les violences scolaires : pour ou contre a présence policière à l’école ?
80000 incidents par an dans les établissement scolaires.
La présence policière aux abords de certains établissement appréciée par certains parents, d’autres sont contre cette mesure de par son caractère punitif et non préventif, incompatible avec la mission éducative.
Les adolescents

I)Panorama:

L’adolescence est une phase de la vie humaine de transition entre l’enfance et l’age adulte.

Elle débute avec la puberté.

Cette période comporte des modifications bouleversantes aussi bien pour l’adolescent que pour son entourage.

Elle est marquée par des changements:
=> physiques(puberté et fin de la croissance)
=>affectifs(modification de la vie relationnelle)
=>intellectuels(compréhension de la vie et de sa vie)
=>psychiques(recherche identitaire,acquisition progressive de l’autonomie).

Les conduites a risques sont particulièrement intenses à l’adolescence.
Face à la quasi disparition des rites initiatiques et collectifs du passage à l’age adulte dans nos sociétés occidentales,le jeune a recours à des rites individuels et ordaliques(affrontements symboliques à la mort).

Jouer avec ses propres limites a pour but de chercher à se situer dans la société et de s’assurer de sa propre valeur personnelle.

Ces comportements prennent une ampleur grandissante dans notre société, car accéléré par la crise des valeurs et de la crise économique retardant l’accès à l’autonomie.

Si surmonter le comportement ordalique peut redonner à jeune un sens et une valeur à son existence,il peut parfois déboucher sur une véritable conduite addictive(alcool,drogue) ou la répétition de comportement auto destructeurs et suicidaires.

definition selon l’Oms:
« est adolescent tout individu agé de 10à 19 ans »;peut sembler arbitraire mais offre divers avantages:
=>elle englobe dans une large mesure la période pré et péri pubertaire(de 10à14-15 ans),dominée par les changements corporels,et incluant la phase de socialisation et d’émancipation(15/19 ans) marquant la 2ème partie de l’adolescence.

Chiffres:
=>20%des adolescents éprouvent un souffrance psychologique
=>10% des lycéens avouent avoir tenté de se suicider.Le suicide reste , en france,apres les accidents de la route, la deuxieme cause de deces chez les jeunes de 14 à25 ans.

les adolescents ont besoin d’indépendance, mais aussi d’affection et de limites et de protections.Ces besoins ,à priori,contradictoires en font une période délicate de la vie.

Fin de la 2nd guerre mondiale: début de l’intérêt sur le problème des comportements sociaux caractéristiques de l’adolescence et intérêt de l’opinion publique et ainsi devenir un objet d’études en sciences humaines.

II)Comment s’expriment ces transformations ?

– >par le « look » : choix des vêtements, recherche d’appartenance à un groupe, à un type de mode
– >la musique et les loisirs : la musique est sans doute la première « nourriture » des jeunes,celle qui les relie entre eux, les rassemble, et parfois est « consommée » à haute dose pour certains. Les loisirs occupent une très grande place : sport, cinéma…
– >la consommation : les adolescents sont tout naturellement de plein pied dans la société de consommation. Ils sont la cible de tous les « marchands » et constituent un potentiel économique très prisé.
– >la vie sentimentale et sexuelle : flirts, premiers baisers, premières expériences, premiers chagrins, premières difficultés (contraception, attirance homosexuelle, risque de MST.

III)Les caractéristiques du comportement et du caractère de l’adolescent :

Entre enfant et adulte, il emprunte les comportements des adultes tout en conservant des préférences et des habitudes liées à son enfance.

C’est l’ambivalence normale. Une fille va se maquiller, vouloir porter des hauts talons et… sucer son pouce en regardant la télé ou avant de s’endormir.

Un garçon va se mettre à fumer, à boire de l’alcool et se comporter en petit garçon.

Les comportements caractéristiques :
La susceptibilité, l’impatience, l’instabilité d’humeur, la provocation, l’excentricité…

IV)Lorsque les difficultés se présentent:

Les premiers signes de mal-être :
=>Désintérêt scolaire,
=>absentéisme,
=>alimentation désordonnée,
=>trouble de la santé, état dépressif passager, la violence,
=>les petits vols,
=>l’attrait pour la marginalité,
=>la consommation des produits tels que : tabac, cannabis, alcool ; prises de risques.

Quand ça va très mal :
=>les comportements de dépendance : alcool, stupéfiants, psychotropes,
=>les conduites à risques : l’adolescence est l’âge des expériences et des défis, mais s’exprimer par des actions dangereuses, rechercher le danger, prendre tous les risques en mettant en jeu sa vie ou sa santé, constituent un signe très fort de mal être
=>les troubles graves du comportement : fugue, anorexie, boulimie- les troubles mentaux : dépression
=>la violence contre les autres- la violence contre soi : l’auto agression, la tentative de suicide

V) réponses apportées:

Les actions en direction des adolescents en souffrance ont été pensées selon trois axes principaux.

1)Inciter les jeunes à s’investir dans la sphère sociale

La loi sur le service nationale:
dès 16 ans (garçons et filles)=>obligation de se faire recenser à la mairie de leur domicile.
Entre 18 et 20 ans=>convocation à une journée d’appel de préparation à la défense au cours de laquelle sont présentés les objectifs généraux de la Défense nationale et les formes de volontariats.

A cette occasion: organisation des tests d’évaluations des apprentissages fondamentaux de la langues francaises.

A l’issue de la journée=>délivrance d’un certificat de participâtion.
Un volontariat d’une durée de 9à 24 mois,est proposé pour ceux qui désirent apporter un concours personel et temporaire à la communauté nationale.

Afin de permettre aux jeunes de s’investir dans la société civile, plusieurs autres initiatives sont mises en place:
=>RDV annuel de l’engagement pour les jeunes de 11à 28 ans,avec la participation des associations de jeunesse et d’éducation populaire ainsi que des collectivités territoriales et entreprises,
=>mise à disposition d’un guide de l’engagement consultable dans les établissements scolaires et universitaires, les mairies, les missions locales d’insertions,
=>organisation annuelle d’une journée de l’engagement.

2)Lutter contre la violence et l’absentéisme:

=>Diverses mesures ont été instaurées et sont régulièrement réactivées et médiatisées:

.La garantie à tous les élèves d’un socle commun des connaissances de base,
.Un renforcement de la lutte contre la violence scolaire,
.Le remplacement assuré des professeurs absents,
.L’institution de bourse au mérite,
.La promotion des filières professionnelles,
.Le renforcement de l’apprentissage des langues étrangères,
.Un large accès à internet et à l’ordinateur,
.La lutte contre l’absentéisme,
.l’installation de dispositifs de sécurisation et de surveillance des établissements.

3)Favoriser et valoriser le travail et la mobilité des jeunes:

a)Politique en faveur des 16-25 ans proposant:

=>une année universitaire plus longue commençant en septembre.
Les étudiant auront l’obligation d’assiduité.
=>une réforme des lycées axées sur le rééquilibrage des filières scientifiques,littéraires et économiques,
=>des mesures contre le décrochages scolaire
=> des dispositifs d’insertion pour les jeunes majeurs,
=>interdiction des stages hors circus , le stage étant une étape dans un processus de formation et non de statut,
=>l’extension du RSA aux jeunes de 18à 25 ans ayant travaillé au moins deux ans durant les 3 dernières années,mais en revanche pas aux jeunes n’ayant jamais travaillé.

b)Mesures récentes:

=>revalorisation du statut des apprentis(loi de juillet 2011):
.création d’une carte d’étudiant des métiers permettant les accès au mm réductions tarifaires que les étudiants,
.institution d’une simplification du recours à l’alternance,
.ouverture de nouveaux secteurs à l’apprentissage et à la professionnalisation , comme l’intérim, les emplois saisonniers ou le particulier employeur, sous forme d’expérimentation ainsi que l’accès des apprentis au baccalauréat professionnel,
.création de deux sites institutionnels dédiés aux jeunes:
->www.agircontreleharcelementalecole.gouv.fr
->http://jeunes.gouv.fr  portail de référence donnant accès à l’ens. des actualités ,dispositifs et services en ligne pour la france entière à destination des jeunes et abordant les diverses problématiques auxquelles ils sont confrontés: emplois,études,logement,transports,santé…

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