Pour exercer ce métier, aimer les enfants ne suffit pas, même si c’est indispensable. Il faut aussi avoir certaines qualités :
◆ Avoir une résistance nerveuse : le bruit, les pleurs, les nombreuses répitions, les sollicitations de plusieurs enfants, travailler en collaboration avec les parents n’est pas de tout repos.
◆ Etre responsable : veiller à offrir un environnement sécurisant, expliquer les régles de sécurité aux parents. L’auxiliaire doit toujours garder un œil sur les enfants qui sont imprévisibles.
◆ Résistance physique : Porter, bercer, soulever, ranger, être toujours debout, travailler dans des environnements adaptés aux enfants mais pas toujours aux adultes (assis par terre ou sur de petites chaises).
◆ Patience : il est souvent nécessaire de répéter plusieurs fois par jour les consignes, les règles et les gestes aux enfants mais aussi aux parents. En maternité, vous devez répéter l’apprentissage du bain pratiquement tous les jours.
◆ Être douce et compréhensive même lorsqu’un enfant pleure, vous tape, vous cris dessus. Un enfant qui se sent bien et en sécurité peut mieux se développer.
◆ Esprit d’équipe : ne pas se contredire devant les enfants (et les parents) et adopter une même ligne de conduite. Il faut savoir déléguer, quand on arrive plus à gérer un enfant, la bonne attitude et de demander de l’aide à ses collègues. Sans travail d’équipe, vous, vos collègues, les parents et surtout l’enfant seront perdus car il n’y aura aucune cohésion dans votre accueil.
◆ Adaptabilité aux différents enfants, leurs habitudes, leur caractère, leur âge… sans les juger.
◆ Etre observatreur : sur l’état de santé, sur le comportement d’un enfant, sur une attitude, c’est grace à l’observation que l’on apprend le plus.
◆ Dextérité et goût pour les activités manuelles : l’auxiliaire doit être à l’aise pour animer des activités : peinture, pâte à sel, marionnettes. Si vous trouvez que c’est trop infantile, ce métier n’est peut etre pas fait pour vous car on doit participer et jouer avec les enfants.
◆ Pouvoir prendre du recul : le monde de l’enfance évolue sans cesse, l’auxiliaire doit être capable de remettre en question ses méthodes.
◆ Sang froid : l’auxiliaire prend en charge l’enfant sain mais aussi malade et handicapé, elle doit pouvoir gérer ces situations.
merci des infos
trep bien dit merci
Infos très utiles…merci
Merci pour tout ce partage
Avec plaisir 🙂
et un auxiliaire de puériculture? Qu’en pensez vous?